| Vous pouvez commander le roman Lire et délire par mail : jaclarrue@gmail.com Envoi postal rapide, gratuit : 19 € | |
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 | Sacré farceur que ce Latoque ! | LE gros avantage, lorsqu’on assure sa propre distribution, c’est que l’on peut aussi savoir qui s’est intéressé à sa production. Cela créait évidemment quelques déceptions, voire une certaine résignation, mais également la joie de se savoir suivi. De Stéphane et Pierre aux premiers jours jusqu’à Guy, Brigitte, Denise et André hier encore, les fidèles s’attachent à remplir une petite étagère de leur bibliothèque depuis une décennie et cela me touche forcément. Évidemment cela ne fait que commencer, tout au moins c’est à espérer ! Nous parlions récemment avec des amis des ventes du bouquin du sympathique (chacun fera ce qu’il veut de cet adjectif) Louis Sarkozy, qui s’est « déjà » écoulé à 2600 exemplaires après avoir invité au « 20 heures » de TF1 et disposer de tables ouvertes et permanentes sur BFM et Cnews ! Tous les espoirs sont donc permis à mon Lire et Délire alors que je n’ai pas encore bénéficié d’une ligne pas même dans la Gazette de Chantemerle de mon ami Xavier Delours ! J’vous dis pas le potentiel et la marge de progression… Jusqu’ici, après la Petite fille dans la tourmente et Rugby Flouze, celui qui s’est le mieux vendu, c’est la Cuisine de ma grand-mère, de ma mère et d’Aubrac-sur-mer. Tant il est vrai que si certains ne dédaignent ni lire ni délirer, la plupart n’aiment rien tant que manger. Les statistiques sont formelles, c’est sur la bouffe que les lecteurs se précipitent en premier et les éditeurs aussi, car il sort chaque année un nombre incalculable de nouvelles publications. Voici pourquoi je n’ai, en aucun cas, dédaigné le côté alimentaire de l’histoire et l’un des intervenants de ce roman se trouve être un certain Roger Latoque. Alors, même si le restaurateur, natif d’Albi mais intronisé dans le cercle d’élite parisien, ne dispute pas les étoiles aux champions régionaux Marc Assein (le meilleur sur le gibier) et Henri Devaux (le maître tripier), la notoriété de ses farcis n’est plus à faire. L’idée au départ consistait à présenter à la sagacité des palais rustiques des préparations ancestrales et redondantes à base de chair à saucisse, de pain et d’oeufs. Des légumes évidemment, mais également des volailles, le fameux dindon, les moules, ainsi que quelques viandes succulentes supportant bien ce surcroît calorifique. L’essor commercial fut tel, que Latoque sans perdre la tête se piqua au jeu et se mit à farcir compulsivement tout ce qui bougeait sur sa planche de travail. Du plus petit escargot jusqu’à la plus impressionnante pêche du jour. C’est cette aventure, intitulée Sacré farceur qu’il offre à lire dans une réédition augmentée et qu’il présente au concours du titre comique du Festival Lire et délire de Chantemerle. Dans un élan de générosité - qui me perdra sans doute -, je vous en offre ici quelques lignes apéritives et gracieuses. En échange de quoi, les gourmets rassasiés seront invités à faire une publicité enthousiaste de ce livre aussi bien par mail que sur les réseaux. Pas Sacré farceur, non, le mien, car c’est pas le bouche à oreille et l’enthousiasme communicatif des papilles et de l’esprit que nous parviendrons peut-être à dessiner pour Lire et délire le destin qu’il mérite assurément. 👉Retrouvez toutes les chroniques ainsi que l'actualité de Lire et délire sur le blog https://jacobrac.blogspot.com/ |
| Voici un extrait du chapitre du livre où Roger Latoque se raconte " J’aurais pu, sans nul doute et sans lassitude, cuisiner de manière conventionnelle mes entrées et desserts et me contenter de ne farcir que mon fameux dindon, mes petits légumes, mes encornets et ma poule au pot. Pour autant, je ne conçois pas la cuisine autrement que de manière évolutive. Tel est d’ailleurs le sens et le privilège de celui qui l’exerce. Le plan de travail se transforme alors en plan de trouvailles. On ne peut se tenir devant ces produits sublimes, frais et colorés, sans instinctivement imaginer d’autres présentations, de nouvelles saveurs, de belles aventures de goût. Et puis outre la fantaisie qui m’anime depuis l’enfance, l’imagination aussi qui m’invite à innover, il y avait peut-être à cet instant de ma vie, quelque chose de plus fort : le désir de surprendre… J’assume de n’avoir jamais adhéré à ces concepts de nouvelle cuisine qui, sous le couvert de la modernité, se moquent ouvertement de ces consommateurs, par trop nombreux, qui se laissent séduire et berner, par ce qui brille et flatte, alors qu’en réalité c’est de la vilaine communication. Du reste, avec cette vague d’illusionnisme et d’imposture où le beau est devenu un critère supérieur au bon et à toute autre forme d’éthique, avec l’avènement du tout numérique, des portables posés près de l’assiette et de la barbarie des réseaux-sociaux, les gens se sont mis à prendre les assiettes en photos, bien plus que de les savourer. En foi de quoi, la cuisine est devenue un spectacle aseptisé.
Mais je n’en étais pas là. Je me suis dit que ce ne serait pas forcément absurde de ne composer mes menus qu’à base de farce. Je me suis mis à rire tout seul, me suis tapé dans la main et aussitôt à l’ouvrage. Banco ! Lorsqu’on aime passionnément un métier et peut-être celui de cuisinier plus que tout autre, ce ne sont pas les idées qui manquent mais plutôt la faculté à toutes les réaliser." | L'avis des copains 👍 Voici les premières notes de lecture concernant mon dernier roman Lire et délire. N’hésitez pas, vous aussi, à vous livrer à cet exercice critique. Y compris si ce n’est pas très positif (nous en discuterons ici sous forme de forum).
« Je viens de finir ton livre, j'ai encore adoré ! Il m’a fait sourire, parfois rire en pensant à toi en train d'écrire et surtout passer un bon moment. J’aime toujours autant tes calembours sur les noms, et il y a dans les synopsis des livres du festival quelques idées de scenarii pour un futur roman, non?! Alors un grand merci pour ce moment de plaisir (et de culture philosophique !) ». Stéphane P. de La Valette (83)
"La lecture de « Lire et délire » lequel porte bien son nom est terminée. Pour ceux qui ont lu tes précédentes parutions, on retrouve ta « patte » avec forces descriptions que ce soient des personnages, des lieux ou des décors. L’humour dans le choix des noms et prénoms des personnages, des situations cocasses de gens simples (au départ), authentiques chacun à leur manière, la confrontation des situations et des égos et leur évolution avec leurs ressentiments, bref un descriptif (ou plutôt une satire à peine voilée, voire tournée en dérision) de notre société et une intrigue suscitant la curiosité qui n’est nullement malsaine… bref du Jaco pur jus." Gérard H. de Aniane (34)
« Comme les précédents, on m’a offert votre dernier livre, Lire et délire. Un peu déconcertant, je l’avoue, il m’a pourtant beaucoup plu. Et c’est en le relisant que j’ai compris pourquoi ! Je n’en dirai pas plus, mais ceux qui feront cette expérience de lecture, comprendront... » B.B. de Muret (31) "Je viens de terminer Lire et délire et je me suis régalé, surtout en prononçant le nom des écrivains..." Claude H. de Limoux (11) |
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